« Il en demeure des forêts de bouteilles, des piles de bols, des verts qui chantent comme les arbres au printemps, des orange d’urane qui brillent comme des soleils, des jaunes façon tournesol, des bleus profonds comme la mer en Espagne, le marron que l’on mangerait comme du chocolat … Le critique d’art se révèle impuissant à en dire la sensualité, la richesse inouïe de cette palette éblouissante. »
• Antoinette Faÿ-Hallé, à propos du couple Ruelland •